L’Europe a t-elle besoin d’être sauvée ? Solen Menguy sur RCF

Soutenez notre action !

Sauvons l'Europe doit son indépendance éditoriale à un site Internet sans publicité et grâce à l’implication de ses rédacteurs bénévoles. Cette liberté a un coût, notamment pour les frais de gestion du site. En parallèle d’une adhésion à notre association, il est possible d’effectuer un don. Chaque euro compte pour défendre une vision europrogressiste !

Articles du même auteur

6 Commentaires

  1. Quel dommage que la solidarité que vous prônez ne va pas jusqu’à faire le choix d’une langue commune pour une culture commune qui est à mon humble avis la règle incontournable de l’union des peuples. La suppression des frontières doit comprendre également les frontières virtuelles du langage ? Cela serait moins couteux que les frais de traductions (2 milliards) des documents pondu par le Conseil de l’Europe ! Entendre parler d’une armée commune est une chose incompréhensible et aberrante, à moins d’équiper les troupes d’un traducteur électronique, au risque d’être distrait et se prendre des pruneaux dans la gueule !

    • « le choix d’une langue commune pour une culture commune qui est à mon humble avis la règle incontournable de l’union des peuples… » Les citoyens suisses, canadiens, belges, indiens, sud-africains, etc peuvent connaître des clivages et des divisions à des degrés divers, mais la nécessité de disposer d’une langue commune n’est pas toujours la solution à leurs problèmes.Vive la diversité linguistique et l’apprentissage de langues 2 ou 3, phénomène courant à travers le monde.

      • Michael Killian a votre avis pourquoi les États-Unis ont fait le choix d’une langue officielle commune, simplement pour vivre ensemble il est préférable de se comprendre, à moins que votre vision de l’Europe ne soit pas le vivre ensemble dans ce cas l’Union ne sert à rien !

  2. Merci de souligner avec cette sérénité engagée le récent rajeunissement de l’Union Européenne et aussi la présence d’une « Europe chez nous » toujours jeune. D’une manière implicite et pourtant nette, Solen Mengy indique notre source de jouvence, qui n’est autre que de « voir plus loin » – selon le nom même d’Eur-Ope aux Larges-Vues – pour une action certes ancrée dans nos territoires, mais aussi articulée sur le long terme que réclament les trois objectifs cités : l’écologie forcément à l’échelle globale, la lutte contre les inégalités entre territoires et l’anticipation des migrations. La mythique Europe qui nous a donné notre nom, cette Crétoise d’adoption, n’incarne-t-elle pas du même coup des solutions à mettre en oeuvre sans crainte ni retard ?

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

A lire également