30 minutes pour l’europrogressisme avec Lorenzo Consoli

Sauvons l’Europe consacrera son format « 30 minutes pour l’europrogressisme » aux coulisses et conclusions du dernier sommet européen des chefs d’Etat et de gouvernement qui s’est tenu les 29 et 30 juin, avec la participation de Lorenzo Consoli.

Né à Brindisi en Italie, formé à l’Université de Bologne, Lorenzo Consoli est journaliste, correspondant européen à Bruxelles, dès 1991. Depuis 2003, il travaille pour l’agence de presse italienne Askanews. Il a été visiting lecturer en journalisme et histoire de l’UE à l’IHECS de Bruxelles. Il fut pour deux mandats successifs, de 2006 à 2010, président de l’Association de la Presse Internationale à Bruxelles (API).

A suivre jeudi 6 juillet à partir de 19h
sur https://youtube.com/live/gbG9t30_mzE

Au moins quatre fois par an, les 27 chefs d’Etat et de gouvernement se retrouvent à Bruxelles en Sommet régulier. Ce fut à nouveau le cas les 29 et 30 juin pour clôturer la présidence suédoise et ouvrir celle de l’Espagne.

Un Sommet qui a eu lieu dans un contexte de défis multiples : climatique, géopolitique et migratoire, avec en toile de fond la guerre en Ukraine….

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5 Commentaires

    • Quel rapport votre commentaire a-t-il avec la construction européenne ?
      En tout état de cause, il ne serait pas exagéré de renvoyer dos à dos l’ « Etat hébreu terroriste » et les nazillons du Hesbollah et du Hamas qui ont pris en otage le peuple palestinien.

  1. visiting lecturer ? Ça veut dire quoi en Français?
    Dans le fond de la toile, il y a aussi la « Proposition de règlement relatif à l’espace européen des données de santé », disponible en anglais uniquement (!) , créée par Direction générale de la santé et de la sécurité alimentaire de la Commission européenne et qui stipule (traduction automatique – https://edri.org/wp-content/uploads/2023/03/EHDS-EDRi-position-final.pdf ):
    « Le règlement prévoit d’imposer aux soignant·e·s et aux hôpitaux de violer le secret médical et de partager des informations médicales sensibles avec de nouvelles agences publiques au sein de chaque État membre de l’UE. Ces agences mettraient ensuite ces données à la disposition de tiers inconnus, y compris pour un usage commercial. Aucune disposition du règlement ne prévoit de recueillir le consentement des patient·e·s à une telle utilisation de leurs données médicales confidentielles ».

  2. Bonjour.

    Pour ma part, les vrais Europrogressistes sont ceux qui se battent en priorité pour finaliser la construction Européenne avec un socle de valeurs communes indéboulonnables.

    Monsieur LORENZO CONSOLI fait-il parti de cette catégorie de politiciens ?

    Personnellement, je n’en vois pas ?

  3. Avec l’Union Européenne, nous nous retrouvons au pied d’un mur que les nations qui la composent ne savent pas, ou ne veulent pas vraiment abattre. Ce mur, c’est le changement climatique qui est traité comme un inconvénient qu’il faut contourner, au mieux prendre des mesures qui ne sont en rien efficaces au vu de ce à quoi nous faisons face, et au pire par une augmentation du nombre des négationnistes, qui ont si peur des changements qu’ils détournent le regard, comme l’a dit Chirac… Je me demande de plus en plus si l’Europe n’est pas vouée à l’échec si réellement elle refuse de prendre les bons tournants, en s’éloignant de l’assujettissement aux États-Unis, et en renforçant ses liens qui la rattachent aux compromis de liberté de parole, de décision, de respect des règles de la démocratie, et d’un engagement réel pour faire naître une démocratie participative où le citoyen est davantage maître se son destin, comme ont si bien su le faire intelligemment les Suisses, avec leur organisation politique…
    J’ai du mal à comprendre où en sont les Français. Repliés pour toujours sur leur chère identité, ouvrant grand leurs bras aux droites dures, qui ne résoudront pas les gros problèmes qui nous attendent tous.

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