5 raisons de voter aux prochaines élections européennes

Les élections européennes offrent aux citoyens une occasion unique de s’exprimer sur l’avenir de l’Europe. Les décisions prises au niveau européen ont une incidence non négligeable sur notre vie quotidienne, qu’il s’agisse de la protection de l’environnement, des droits sociaux, de la mobilité ou de la politique étrangère. En votant, nous pouvons contribuer à façonner une Europe plus juste, plus durable et plus inclusive.

Les membres du Parlement européen jouent un rôle important dans les processus décisionnels et législatifs de l’Union européenne. Ils participent activement à la rédaction, à la modification et à l’adoption des lois et directives de l’Union européenne. Ils proposent des amendements, discutent des propositions législatives et votent sur les documents à soumettre au Parlement européen. Le Parlement européen est l’organe législatif de l’Union européenne. Ils représentent le peuple européen et sont élus au suffrage universel tous les cinq ans. Les députés travaillent avec d’autres institutions de l’UE, en particulier la Commission européenne et le Conseil de l’Union européenne, pour développer et mettre en œuvre les politiques européennes. Ils sont la voix des citoyens européens et jouent un rôle important dans le processus législatif démocratique de l’Union européenne.

Voici 5 raisons pour lesquelles il est important de voter aux prochaines élections européennes :

1. Renforcer la politique climatique européenne

L’Union européenne joue un rôle primordial dans la lutte contre le changement climatique. Étant donné que la politique environnementale nécessite une coopération transfrontalière, que les règles et directives de l’UE couvrent un vaste éventail et que l’UE a un pouvoir d’influence sur le monde par ses décisions, il s’agit d’une échelle pertinente pour porter des politiques écologiques ambitieuses. En participant aux élections européennes, nous influençons la politique climatique de l’UE et son rôle mondial dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Nous avons l’opportunité d’élire des représentants qui soutiennent et renforcent la politique climatique de l’UE, y compris les objectifs d’émissions, le développement des énergies renouvelables et la transition vers une économie plus durable. C’est une manière de s’assurer que le Green New Deal européen soit juste.

2. Exercez vos droits de citoyen européen et renforcez la légitimité démocratique de l’Union européenne

La participation aux élections européennes est un acte de participation démocratique. En exprimant nos choix, nous pouvons façonner la composition du Parlement européen et influencer les décisions qui affectent directement notre vie quotidienne et notre avenir en Europe. Chaque vote compte et influence la direction que prend l’Europe. Vos députés directement élus représentent vos intérêts et vos préoccupations au niveau européen. Ils agissent en tant qu’intermédiaires entre les citoyens et les institutions de l’UE. Ne sous-estimez jamais la puissance de votre voix.

3. Combattre la montée des mouvements nationalistes

Les élections européennes sont l’occasion de contrer la montée des mouvements nationalistes et populistes en Europe. Ces mouvements constituent une menace pour la démocratie car ils portent des idées autoritaires qui remettent en question les principes démocratiques fondamentaux tels que l’état de droit, la liberté d’expression et les droits de l’homme. Leur rhétorique antipluraliste et leurs tendances populistes peuvent saper les institutions démocratiques et les fondements mêmes de la démocratie.

Si vous ne votez pas, vous votez pour l’extrême droite. A l’inverse, en votant, nous pouvons soutenir les partis et les parlementaires qui partagent une vision de l’Europe fondée sur la coopération, la solidarité et le respect mutuel.

4. Défendre une Europe sociale

Votre vote permettra également de défendre les droits des travailleurs, une protection sociale européenne, la santé pour toutes et tous, l’égalité des genres et l’inclusion sociale au niveau européen. L’objectif des politiques sociales européennes est d’assurer des normes minimales de protection sociale et de promouvoir la justice sociale dans toute l’Union européenne. L’Union européenne dispose de fonds structurels et sociaux qui soutiennent financièrement des projets et des initiatives visant à réduire les inégalités sociales et à promouvoir le développement économique et social.

5. Développer la coopération internationale

Les membres du Parlement européen représentent l’Union européenne vis-à-vis des autres pays et des organisations internationales. Ils participent aux délégations parlementaires, aux conférences et aux négociations internationales, contribuant ainsi à la diplomatie parlementaire et à la coopération internationale.

La participation aux élections européennes est essentielle pour notre participation démocratique, notre capacité à influencer la politique européenne et notre volonté de promouvoir une Europe unie, progressiste et ambitieuse pour lutter contre le changement climatique. Il s’agit d’une occasion unique de façonner l’avenir de l’Europe. N’ignorons pas ce pouvoir entre nos mains et faisons entendre notre voix aux élections européennes.

[author title= »Pierre Benassaya » image= »https://www.sauvonsleurope.eu/wp-content/uploads/2023/04/benassaya.jpg »] Pierre Benassaya, président des Graines populaires, collectif écopopulaire proposant des solutions écologiques concrètes et adaptables à toutes les situations de vie..[/author]

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15 Commentaires

  1. Bonjour,
    Voilà une vision bien idéaliste.
    Nous allons élire des parlementaires.
    Dans la dérive inhérente au système, une fois élus, plus jamais cette institution ne demande l’avis du peuple dont elle n’est que le porte-parole.
    Une fois élus, ils décident seuls des sujets et des solutions alors que : »La légitimité appartient au peuple qui la délègue à l’assemblée !!! »

    Dans ces conditions, malheureusement,
    élire c’est refuser de voter !!!
    Une fois élus ces personnes s’imaginent avoir acquis des capacités, des compétences, une vision exhaustive de chaque sujet tout cela leur permettant de choisir les solutions et de décider sans jamais remettre en cause leur analyse et sans besoin d’obtenir l’assentiment de ceux sur qui vont peser leurs décisions.
    Soyons en bien conscients.
    Le système est à réinventer.

    • Si l’article est idéaliste, le commentaire est largement catastrophiste, avec des affirmations assénées sans preuves. L’Europe est très loin d’être idéale, mais que proposez-vous ?

      • En effet, le commentaire est malheureusement émaillé d’affirmations qui ne ne sont pas vraiment argumentées. Il témoigne d’une préoccupante ignorance du fonctionnement du Parlement européen, dont les travaux ne se cantonnent pas à des effets de manche en séance plénière dans les hémicycles de Strasbourg ou de Bruxelles. Le « boulot » en profondeur, c’est, comme souvent dans les assemblées élues, surtout dans les commissions parlementaires qu’il s’accomplit: c’est-à-dire des instances où les discussions entre eurodéputés (du moins les plus sérieux, pas les quelques « planqués » qu’on éloigne de la scène nationale) ne sont pas de vains bavardages, où la culture du dialogue avec le monde économique et social est de mise et où les rapports produits par les députés méritent l’attention (il n’est pas difficile d’y accéder sur le site du Parlement).

        Si vous avez le courage de dépasser vos préjugés, je me permets de vous conseiller la lecture de l’ouvrage (passionnant, de mon point de vue) que Bernard Guetta – ancien journaliste devenu eurodéputé – a tout récemment publié chez Flammarion sous le titre « La nation européenne ». Il y relate de manière particulièrement vivante ses premiers pas de parlementaire européen et donne un aperçu très bien documenté de la vie de l’institution.

        Bref, il ne faudrait pas que le comportement condamnable de quelques brebis galeuses – c’est tellement plus accrocheur au niveau d’une certaine presse – cache (ou gâche) la réalité d’une entreprise à vocation assurément démocratique… qui, certes, peut encore s’améliorer. En voulant évacuer de manière précipitée l’eau du bain, c’est malheureusement parfois le bébé qu’on met en danger…

  2. Cette vision ne peut être, ne doit être, qu’une vision optimiste, ambitieuse et partagée par les peuples d’Europe parce que , si tous les échelons politiques, depuis la mairie du village, au département, région et pays sont nécessaires et légitimes, il reste des enjeux de survie (écologie, guerre, commerce international… qui ne peuvent être traités de manière efficace qu’au niveau de l’Europe et s’articuler avec ou en tenant compte des autres continents. On est plus intelligents et efficaces à plusieurs que tout seul , ce qui suppose des compromis, en évitant les compromissions contraires à nos valeurs.

  3. Prétendre que le Parlement européen est aujourd’hui le pouvoir législatif de l’Europe est une contre-vérité. Il s’agit d’une institution qui exerce un contrôle (très) limité sur la politique menée par l’U.E. Nous sommes encore très loin du fédéralisme. A titre d’exemple, le Mercosur est actuellement négocié dans le plus grand secret sans aucun contrôle démocratique. Pour ma part, en tant que Belge et Européen de gauche, je voterai pour un parti adhérant au GUE/NGL et certainement pas pour le groupe PSE, beaucoup trop complaisant avec l’orthodoxie libérale et dont les composantes grecques (PASOK) et belges (PS) ont été largement compromises dans le Quatargate. Le PS belge francophone (comme le PASOK) a hélas un large passé de corruption dont il n’arrive pas à se débarrasser malgré les efforts de Paul Magnette. Il s’agit, pour moi, de répondre ainsi au mieux aux objectifs énoncés dans les fondamentaux de SLE et repris brièvement dans le texte ci-dessus.

    • Même si je ne l’ai pas toujours exprimé à la faveur du dialogue ouvert sur le site de SLE (le silence valant, en l’occurrence, approbation tacite), c’est sans réserve que j’ai très souvent apprécié vos commentaires.

      Cela ne m’empêche pas de faire valoir, à l’occasion, des divergences. Tel est le cas aujourd’hui en regard de quelques-unes de vos observations concernant le Parlement européen: minimiser son implication dans le processus législatif relève, de mon point de vue, d’un moment de distraction peu en phase avec les remarques habituellement judicieuses dont vous êtres coutumier.

      Une partie de mes remarques ont été formulées dans la réponse qu’en appui à notre ami Podevin j’ai cru devoir apporter aux propos de la personne signant « Plessis » (voir plus haut). A cet égard, permettez-moi d’insister sur le rôle fondamental que jouent les commissions parlementaires dans le cadre desquelles se forge véritablement la contribution du Parlement à l’élaboration de la législation européenne – et en tout cas lorsqu’il s’agit de « codécider » avec le Conseil. La consécration, par le traité de Lisbonne entré en vigueur en 2009, de la codécision comme procédure législative ordinaire ne constitue pas, en effet,un apport purement « cosmétique ». Elle est l’aboutissement d’une patiente construction institutionnelle à la mesure de l’accroissement graduel des compétences de l’Assemblée de Strasbourg et d’un certain rééquilibrage avec les pouvoirs du Conseil.

      Si vous qui, sauf erreur de ma part, habitez en Belgique (ou à proximité), avez l’occasion de visiter – mais c’est peut-être déjà fait – le centre dénommé « Parlamentarium » situé dans le « quartier européen » de Bruxelles, vous pourrez y glaner de précieuses informations, appuyées notamment sur l’audiovisuel, quant à l’histoire et au fonctionnement de l’institution.

      Loin de moi la naïveté d’idéaliser une enceinte qui n’est pas à l’abri d’imperfections bien humaines – ne dit-on pas que le terme « Parlement » plonge aussi ses racines sémantiques dans les verbes « parler » et « mentir » ? Mais, de grâce, évitons de mépriser non sans exagération celles et ceux que l’on conçoit comme les représentants (élus) des peuples d’Europe.

      • (post-scriptum)
        Soucieux de séparer les diverses considérations que je souhaitais faire valoir au sujet de l’état actuel de l’UE, j’ai préféré mettre dans le présent commentaire additionnel les remarques complémentaires suivantes – et qui, au passage, répondent au moins partiellement à des interrogations de notre ami Mylord (mais je me trompe peut-être).

        Ainsi, on peut comprendre l’amertume qu’est susceptible d’engendrer la prégnance de tendances conservatrices au sein de certaines institutions de l’UE.

        Mais si, en délaissant les facilités de la superficialité, on observe attentivement les données qui contribuent à façonner ce profil, il convient de ne pas négliger une singulière chaîne de causalités s’emboîtant l’une dans l’autre:

        – au point de départ, il y a le vote des peuples. Or, au cours des dernières années, qu’on le souhaite ou non (pour ma part, ce serait plutôt « non »), on a pu observer globalement, dans un nombre non négligeable d’Etats membres de l’UE, une tendance à privilégier un vote situé plutôt à droite;

        – à partir de ce mouvement, tant les parlements que les gouvernements nationaux y ont fait écho au niveau de leur gouvernance, en vertu soit d’une position majoritaire soit d’une pratique de coalition;

        – si cela vaut, à l’évidence, pour le Parlement européen, une conséquence induite est aussi la désignation de personnalités de même « obédience » en tant que commissaires européens, par leurs gouvernements respectifs.

        On ne prétendra pas que l’observation d’un tel « continuum » porte sur (ou relève d’) un phénomène rigoureusement mécanique. Mais elle peut contribuer à éclairer une situation qui, sur le moyen ou le long terme, se manifeste avec une certaine récurrence.

        • Bonjour Monsieur VERNIER.

          Vous ne répondez toujours pas aux questions que je pose à Monsieur PODEVIN (n’y lui non plus ?) le 11/06 à 1-h39 et à vous même à 16h56 (puisque vous allez dans son sens) dans l’article « Fraude sociale et carte vitale » envoyé par mail le 7/06/2023 ?

          • Tout en vous priant de bien vouloir excuser mon retard, j’attire votre attention sur le fait que j’ai enfin donné suite, hier, à votre message… mais, surtout, en avouant que je n’étais pas le bon interlocuteur pour répondre sur le terrain économique. Ce n’est pas pour me défiler: en effet, la ligne de conduite que j’essaie de suivre est de n’intervenir qu’en connaissance de cause. D’une certaine manière, cette attitude – qui peut décevoir – s’inspire de la fameuse formule immortalisée par les tontons flingueurs: « Les cons, ils ont un avis sur tout… c’est même à ça qu’on les reconnaît ».

          • Bonjour Monsieur VERNIER.

            Merci pour votre réponse ci-dessous du 15/06 à 10h23, vous me dites que vous n’êtes pas le bon interlocuteur sur le domaine économique (et financier ?), pourtant vous émettez un avis sur les agences de notation qui engendre de ma part une demande d’explication puisque leur avis à une grande influence sur la politique des taux pour financer la dette.
            En restant modeste, je pense avoir certaines connaissances dans le domaine économique et financier liées à mon activité passée, dans certains commentaires, cette méconnaissance entraine des écrits non fiables.

  4. Bonjour.

    Avant de m’exprimer sur les prochaines élections européennes, ne serait-il pas sain que quand nous débattons entre nous, que nous posions des questions, il y ait des réponses ?

    En effet, suite aux écrits de Monsieur PODEVIN et de Monsieur VERNIER, j’attends toujours des réponses de leurs parts à mes commentaires du 11/06 à 16h39 et 16h56 que je leurs adresse concernant l’article « Fraude Fiscale et carte vitale du 7/06 ?
    Ces réponses sont de mon point de vue très importantes, elles permettrons de clarifier les divers commentaires fait.

    Sur les prochaines élections, s’il ne faut pas jeter trop rapidement l’eau du bain, faut’il admettre de continuer ainsi en n’allant pas à l’essentiel, devons nous éternellement admettre qu’un député une fois élu ne nous représente pas, ne défende pas « bec et ongles » les intérêts du peuple européen ?
    L’étude des résultats de cette élection nous permettra d’y voir plus clair, si il y a une montée des partis extrémistes et nationalistes, cela voudra dire que la classe politique actuelle en sera responsable, elle joue depuis trop longtemps avec le feu.

    Ceux qui s’intéressent à mes commentaires connaissent le but ultime qui doit s’imposer pour acquérir notre indépendance, je suis un européen avant d’être Français, cela ne semble pas être le cas pour nos gouvernants, nous n’en serions pas là ?

  5. Mes bonnes raisons de ne plus voter pour des inconnus qui ne me représenteront pas.
    1. Renforcer la politique climatique européenne
    Une fois élu l’inconnu député, qui devrait me représenter, soutient et renforce la politique climatique de l’UE qui est globalement de continuer à augmenter les profits d’entreprises écocidaires qui nous tuent à petit feu. Ces profits serviront à éliminer la plupart des gens définis par les politiques comme des « riens » donc classés comme inutiles. Le Green New Deal européen ? Des mots, juste des mots pour donner le change dans l’attente de l’élimination. Pourquoi, une fois les députés élus, devons-nous encore leur rappeler à force de pétitions nos convictions ?? Un député devrait pouvoir exposer le bilan de son mandat à ses électeurs lors d’un contrôle à mi-mandat et ces derniers devraient pouvoir le confirmer dans ses fonctions ou pas.
    2. Exercez vos droits de citoyen européen et renforcez la légitimité démocratique de l’Union européenne
    Cela fait un demi siècle que je participe démocratiquement sans avoir jamais eu l’impression que les députés directement élus représentent mes intérêts et mes préoccupations au niveau européen. Peut-être parce que ce ne sont que des intermédiaires et qu’ils n’écoutent pas que leurs électeurs ? De ce fait, la puissance de ma voix est donc déjà réduite de moitié par rapport aux autres institutions et encore plus diluée après les discours (ou les pots-de-vin ?) de tous celles et ceux qui cherchent à influer sur les députés. C’est bien beau le « vernis » démocratique, ça brille et ça attire les alouettes.
    3. Combattre la montée des mouvements nationalistes
    Si je ne vote pas, je ne vote pas. En votant, je soutiens les partis et les parlementaires qui partagent une vision de l’Europe fondée sur la coopération, la solidarité et le respect mutuel des classes supérieures qui ont décidé l’élimination des classes inutiles, celles encore aujourd’hui majoritaires et qui n’auront bientôt plus de travail en dehors de celui d’esclave.
    4. Défendre une Europe sociale
    Peut-être, s’il y a encore des députés avec un parcours et de vraies convictions, qui s’engagent sur ce sujet…
    5. Développer la coopération internationale
    Nous ne vivons pas seulement en Europe mais dans un éco-système, la Terre. Or l’Europe développe une influence occidentaliste basée sur des préceptes largement colonialistes et destructeurs (l’argent) en dehors de quelques rustines d’action de coopération voire de réparations.
    Voter ou ne pas voter ? Attention au jeu de dupes.

    • Bonjour,
      Vous me permettrez de faire aussi un peu de ‘copié-collé’?
      « 1. Renforcer la politique climatique européenne
      Une fois élu l’inconnu député, qui devrait me représenter, soutient et renforce la politique climatique de l’UE qui est globalement de continuer à augmenter les profits d’entreprises écocidaires qui nous tuent à petit feu. »
      Vous savez qu’à côté de votre vision très partisane, il existe tout un travail sérieux sur ces sujets? Vous devez le savoir mais vous ne le citez pas:
      https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/green-deal/timeline-european-green-deal-and-fit-for-55/
      « 3. Combattre la montée des mouvements nationalistes
      Si je ne vote pas, je ne vote pas. En votant, je soutiens les partis et les parlementaires qui partagent une vision de l’Europe fondée sur la coopération, la solidarité et le respect mutuel des classes supérieures qui ont décidé l’élimination des classes inutiles, celles encore aujourd’hui majoritaires et qui n’auront bientôt plus de travail en dehors de celui d’esclave. »
      On a vu des contributions plus constructives et structurées sur les moyens de ‘combattre la montée des mouvements nationalistes’. Comment voulez-vous être pris au sérieux, sur un site sérieux comme SLE, avec des propose du genre ‘ l’élimination des classes inutiles, celles encore aujourd’hui majoritaires et qui n’auront bientôt plus de travail en dehors de celui d’esclave’. Peut-être que vous avez environ 16 ans et que ça passera. Mais pas ici, SVP!

  6. Cher M. Killian, je parle de faits scientifiquement avérés à ce jour. Je précise que l’économie n’est pas une science pour moi. Je tiens compte des efforts louables faits pour atteindre une neutralité de quelque nature serait-elle en…2050 mais pour moi tout cela relèvent du greenwashing, voire de l’incantation. En 2050, des millions mourront de chaud, de soif…car nous ne changerons pas notre écosystème avec ces mesures commerciales avant tout destinées aujourd’hui aux « Marchés ».
    Je précise aussi que je fais allusion à un inconscient collectif bien sûr en parlant de l’ensemble de nos élites, incompétentes à imaginer un monde avec d’autres valeurs que l’économie, voire pire, sa marchandisation libre et effrénée comme seule valeur pour guider le monde.
    Quand à vos appréciations personnelles sur mes propos soit disant liés à la jeunesse de mon esprit, je vous en remercie chaleureusement, étant donné mon âge et mes expériences. Elles m’ont rassuré sur mes capacités intellectuelles et bien fait rire !-)))

  7. […] Members of the European Parliament play an important role in the decision-making and legislative processes of the European Union. They actively participate in the drafting, modification and adoption of European Union laws and directives. They propose amendments, discuss legislative proposals and vote on documents to be submitted to the European Parliament. The European Parliament is the legislative body of the European Union. They represent the people of Europe and are elected by universal suffrage every five years. MEPs work with other EU institutions, in particular the European Commission and the Council of the European Union, to develop and implement European policies. They are the voice of European citizens and play an important role in the democratic legislative process of the European Union. […]

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