Europe et médias : question écrite au Parlement européen

Le combat initié Par Sauvons l’Europe et d’autres associations pro-européennes autour de « Plus d’Europe à la télé ! » (12 500 signataires de la pétition et plusieurs mentions dans les médias) continue après plus d’un an et demi d’activité.

C’est désormais Sylvie Guillaume, Vice-Présidente du Parlement européen, qui pose une question écrite à la nouvelle Commission afin qu’elle rende compte de ses objectifs de présence des commissaires dans les grands médias nationaux.

 

2014 COM COMM Nouvelle versionD’autres initiatives sont également en cours, dont nous vous tiendrons informés!

 

 

Arthur Colin
Arthur Colin
Président de Sauvons l'Europe

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12 Commentaires

  1. Bravo à la pugnacité de l’équipe de SLE et de ses soutiens. Je partage l’avis de Caetano. J’y ajoute la manipulation politique de désinformation par certains qui ne veulent pas du concept EUROPE.

  2. Merci pour votre travail et à Sylvie Guillamaume pour son engagement. Pourriez-vous lancer une pétition pour obtenir des explications, sinon la démission, de JC Junker qui, quand il était premier ministre du Luxembourg a passé des accords SECRETS avec des groupes multinationaux afin qu’ils échappent à l’impôt dans leurs pays, privant ainsi ses « partenaires » européens de ressources fiscales indispensables ce qui « justifie » aujourd’hui la réduction des services publics et l’austérité sociale . Comment lui faire confiance pour diriger la Commission? Et pour quels inytérêts???

  3. Vivement des médias actifs, réactifs, en réseau !
    Arte semble montrer le chemin polyglotte et multiculturel pour la diffusion de l’information comme pour une créativité citoyenne. Ces derniers mois, France 3 insistait par petites touches fines et fortes sur l’implication de l’Europe en France…
    Or Eur-Ope et l’Eur-Ope ne peuvent vivre sans une Large-Vue impliquée par leur nom et relayée par les interMEDIAires que savent être les MEDIAs.

  4. Pour moi , Jean-Claude Junker ne doit pas démissionner mais reconnaître que , quand il était premier ministre du Luxembourg , il n ‘ a pas agi dans l ‘ intérêt des pays membres de l ‘ Europe , donc de l ‘ Europe .
    Il doit donc s ‘engager au jour d ‘ hui , à lutter contre l ‘évasion fiscale et imposer aux groupes multinationaux de payer les impôts dans les pays où ils exercent leurs activités .
    Comme la confiance a des limites , il doit être mis sous surveillance par les instances européennes prévues à cet effet .

  5. Serions-nous suffisamment sauts pour croire à ces fables selon lesquelles junker se retournerait sur ce qu’il a créé au Luxembourg . N’avez-vous pas remarqué qu’il a quitté la séance de l’assemblée EU pour raison de mauvaise santé . Combien de temps va-t-il rester à ce poste ? n’a-t-il pas été élu dans l’attente d’ un remplaçant ?

  6. Bravo en effet pour tout le travail de SLE et haro sur Junker. Mais que pouvait-on en attendre ? En ce qui concerne le futur traité atlantique,où en sont les discussions ? Quel rôle les députés européens peuvent-ils jouer dans ce qui mènera peut-être l’Europe à n’être plus qu’un vassal des États-Unis et autres puissances peu regardantes sur tout ce qui fait l’exception sociale de la France ? Ce traité ne va-t-il pas nous entraîner vers le bas ? C’est une de mes grandes préoccupations.

  7. Merci pour vos encouragements!

    En ce qui concerne le Luxembourg gate, nous sommes en train de réflechir à la meilleure manière d’aborder la question… Le sujet n’est pas Juncker lui-même, qui de plus n’a pas été le choix des Etats mais leur a été imposé par le Parlement parce qu’il a gagné les élections européennes. Il est de savoir comment faire avancer la lutte contre la fraude fiscale en Europe. Il n’est pas interdit de penser que Juncker soit neutralisé sur cette question précisément en raison du conflit d’intérets…

  8.  » Au-delà du devoir de mémoire  »

    Une organisation – sui generis -, en apôtre de l’ouverture, polyglotte, est-ce l’Europe la conviction pacifique de la Terre ?

    Nul doute, le spectre massacra jadis l’âme d’un monde qui chavira dans l’abîme. Il était une fois, le – Mur de Berlin -. Le 9 novembre 1989, le – Rideau de fer – tomba, ce – Mur de la honte -, issu de la guerre froide, subissait les convulsions du peuple allemand. Un fulgurant rêve naquit alors, – l’Europe n’acceptera plus jamais d’être divisée -. Par une nuit bleue, une éclipse infinie épousa l’azur profond, un arc en sel se dessina au ciel, quand magistralement, Milan Kundera souligna – la tragédie des pays satellites de la Russie -. Alors de battre, la pulsation soviétique s’est arrêtée, les anges annoncèrent la victoire de la liberté sur le totalitarisme, l’Europe illumina – soyez résolus de ne servir plus, et nous voilà libres -. Nulle hésitation, il nous faut fonder la démocratie européenne aux jours qui filent.

    L’ Europe a une essence, une existence à nulle autre pareille !

    Les institutions européennes étincellent, chemin faisant à l’heure de vérité, que reste-t-il de notre devoir de mémoire ?

    – Ce siècle avait deux ans, Rome remplaçait Sparte … -. Les traités de Rome conclus en 1957 portent sur les fonts baptismaux la Communauté économique européenne et la Communauté européenne de l’énergie. En regard de la consolidation de la paix, l’Europe, seconde virginale, traverse les portes du temps avec une diplomatie d’influence. Alliage et fusion, l’Europe incarne un devoir d’initiative, une idée, une méthode, une amitié, une coopération et une communauté internationale de valeurs. Lettres en vers, lettres de verre, capitales poétiques en lettres capitales, Europe seras-tu là ? Se laisser conter l’Europe des lettres, de la liberté, de la paix, de la mobilité, de la diversité et de la solidarité, une union sans cesse plus étroite, à l’idée même telle que les Pères fondateurs la conçurent. Exquise esquisse, l’Europe se nomme désir car l’Europe garde les libertés et les principes démocratiques, respecte la dignité humaine et assure un espace de dialogue entre les citoyens et les institutions européennes.

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